L’initiative populaire «garde-chasse au lieu de chasseurs» n’était même pas sur l’appel de gauche: le Conseil cantonal les rejette avec 165: 0 voix.
Les promoteurs des milieux de bien-être animal la demande dans le canton de Zurich une extrémité de la chasse amateur et la milice d’aujourd’hui: sont conçues pour fournir une gestion de la faune, dans lequel la régulation naturelle du bétail est rangers prépondérants professionnels formés à leur place.
Aujourd’hui, les chasseurs ont de nombreux droits et de nombreuses libertés, mais pratiquement aucune obligation, a déclaré Marianne Trüb du comité d’initiative. Après seulement 28 heures théoriques et l’existence d’un test de tir reproductible, les chasseurs pouvaient aller à la chasse – “il n’y a pas de bonne formation là-bas”. Les permis de tir spéciaux sont la règle aujourd’hui, alors que la chasse n’est pas une interdiction sur l’alcool, critique Trüb. “Au lieu de l’intérêt personnel des chasseurs, la conservation des animaux et de la nature devrait être l’objectif.”
L’initiative n’a cependant aucune chance: à l’exception de quatre abstentions, l’ensemble du Conseil cantonal s’est prononcé lundi pour la préservation de la chasse aux milices d’aujourd’hui.
Infographie: Bisous dans le canton de Zurich
Selon Roger Liebi (SVP, Zurich), président de la Commission consultative des affaires économiques et financières (WAK), la chasse dans ces régions est une bonne chose grâce aux chasseurs bien formés et à l’étroite coopération des autorités, des associations et du secteur agricole et forestier. out.
«L’industrie de la chasse zurichoise est bien positionnée»
La chasse fonctionne, les stocks de faune sauvage sont réglementés, a déclaré Ruth Ackermann (CVP, Zurich) dans un long débat. Et elle a demandé rhétoriquement: “Pourquoi faut-il abolir quelque chose?” La chasse à la milice a fait ses preuves, a déclaré Andreas Geistlich (FDP, Schlieren). Les chasseurs zurichois considèrent la chasse comme une vocation et l’exercent avec soin et respect.
Hans Egli (EDU, Steinmaur) a également estimé que les chasseurs revendiquent une haute moralité lorsqu’ils chassent le gibier. “La chasse est toujours conforme au bien-être des animaux.” Les animaux sauvages ne seraient pas stressés par les chasseurs, mais plutôt par les joggeurs, les cyclistes et les cavaliers.
Pour le SP, l’industrie de la chasse zurichoise est déjà bien préparée aujourd’hui: la qualité de la chasse est élevée, les exigences pour les chasseurs sont également élevées, a déclaré Benedikt Gschwind (Zurich). En outre, les chasseurs de gibier requis recruteraient probablement dans le cercle des chasseurs d’aujourd’hui – le groupe de personnes resterait le même, a déclaré Gschwind.
Pas de nature Zurich sauvage
Une régulation naturelle de la population faunique n’est pas possible, a finalement déclaré le conseiller du gouvernement et chasseur Markus Kägi (SVP). «Notre nature n’est pas une nature vierge, mais un paysage culturel très utilisé.» D’une part, les animaux sauvages n’ont pratiquement aucun ennemi naturel et, d’autre part, leur alimentation est plus importante grâce à l’agriculture qu’à l’état sauvage.
La population de la faune augmenterait, a déclaré Baugirektor Kägi. Les pâturages et les jeunes forêts devront ensuite être clôturés pour être protégés. Cela fragmenterait davantage les habitats fauniques déjà fragmentés. Ce n’était pas un bien-être animal, alors Kägi.
SP voulait contre-proposition
Alors que le SP a dénoncé l’initiative et pour la préservation de la chasse aux milices, ils ont suggéré une contreproposition: pour améliorer le bien-être des animaux, le carburant controversé et Baujagden devraient être interdits. mais aussi ce n’était pas majoritaire au sein du Conseil. Il a été battu par 121 à 49 voix.
L’initiative populaire cantonale «Gamekeeper au lieu des chasseurs» arrive désormais aux urnes. Le Conseil de gouvernement et le Conseil cantonal recommandent leur rejet. (SDA / PU)