2016

NATURE – La convention de partenariat est conclue entre l’État de Vaud et la Diana. Avec l’obligation pour chaque chasseur de consacrer un jour par an à l’entretien des milieux naturels ou agricoles.

La fonction du chasseur au sein de la nature ne cesse de s’affiner. Dans cette logique, la convention de partenariat pour la protection de l’environnement est conclue entre l’autorité cantonale et la Diana vaudoise.

«Changer de dimension»

«Aujourd’hui déjà, des bénévoles de nos sections posent, par exemple, des clôtures autour de plantations forestières ou de champs exposés», relève Jean-Daniel Simon, vice-président de la Diana jusqu’à ce samedi. Le président enchaîne: «Nous allons changer de dimension en entrant dans un système obligatoire: chaque chasseur devra fournir au moins un jour de travail pour cette mission.»

Cela devrait satisfaire les attentes de Jacqueline de Quattro, qui doit plafonner les dédommagements versés par le canton après des atteintes aux cultures agricoles.

  • La Diana est moins contente de la Confédération, qui tarde à réviser sa loi sur la chasse.
  • La pression des lynx, surtout, ne cesse pourtant de croître.
  • Les chasseurs attendent des adaptations législatives pour réguler les grands prédateurs.

La ministre Jacqueline de Quattro a promis qu’elle agirait dans ce sens.